Loana vient de faire des révélations accablantes au sujet de Sylvie Ortega. Selon les affirmations de la star de « Loft Story », son agent aurait tenté délibérément de l’assassiner. Le point à travers cet article.
À la suite de son hospitalisation, Loana a décidé de briser le silence et s’en est violemment prise à son agent. Elle accuse notamment Sylvie Ortega d’avoir essayé de la tuer. On vous dit tout !
Une évacuation d’urgence en début de semaine
Samedi dernier, Sylvie Ortega a publié un message sur son compte Instagram, comme quoi Loana Loana allait « très bien ». En effet, au début de cette semaine, la vedette de téléréalité a dû être transférée à l’hôpital d’Hyères après avoir fait une nouvelle crise. Selon une publication de Star Mag, il s’agissait en fait d’une surdose de GHB.
Sur le plateau de TPMP, Guillaume Genton a indiqué : « Elle a été transférée aux urgences à 9 heures du matin, dans un état critique. Elle va être prise en charge dans un hôpital psychiatrique ». Dans le célèbre talk-show, la veuve de Ludovic Chancel avait expliqué : « Je ne fournis aucun médicament à Loana (…), quand elle fait une crise, on lui administre un xanax en attendant les pompiers ».
Sylvie Ortega serait-elle à l’origine de l’hospitalisation de Loana ?
Depuis la clinique où elle a été transférée, la patiente a donné de ses nouvelles. Elle revient sur ce qui s’est réellement passé le jour où elle a été hospitalisée. Selon ses explications, elle a été « enfermée dans une salle blanche, à fixer le plafond, à cause de la dose excessive de médicaments que lui a fournis son agent pour la faire crever ».
Selon elle, son amie lui aurait transmis deux Temesta, deux Xanax 50 et deux Imovane. Des pilules que l’on prend principalement en complément d’une thérapie contre la bipolarité. Loana poursuit en affirmant : « J’ai perdu connaissance pendant plusieurs heures. Ils m’ont sorti du coma au bout de quelques heures… Ils m’ont placé dans cet hôpital psychiatrique, convaincu que j’avais voulu mettre fin à mes jours ».
La blonde de 43 ans précise ensuite : « Ils ont enfin réalisé que j’avais juste demandé un calmant basique et qu’on avait voulu me faire bien pire. Pas le contraire ». Et de poursuivre : « Il n’y a aucune histoire de drogue. (…) Je ne suis pas dépressive ni à bout, au contraire ». Voilà qui est dit !